Dans un contexte d’inflation et de tension sur l’emploi, les avantages sociaux ne sont plus un simple « plus » salarial : ils deviennent un levier déterminant pour attirer et fidéliser les talents, soutenir le pouvoir d’achat et renforcer l’engagement des équipes. À titre d’illustration, près d’un salarié français sur quatre déclare ne pas se projeter au-delà d’un an dans son entreprise, ce qui pousse les employeurs à repenser leur proposition de valeur au-delà du salaire.
Les avantages sociaux regroupent l’ensemble des compléments au salaire offerts par l’employeur pour améliorer la qualité de vie au travail, soutenir le pouvoir d’achat et renforcer le sentiment d’appartenance. Ils se divisent en deux familles : obligatoires (socle légal) et facultatifs (différenciation et attractivité).
• Congés payés (en moyenne 2,5 jours ouvrés par mois travaillé).
• Indemnisation en cas d’accident du travail.
• Participation aux bénéfices à partir de 50 salariés.
• Mutuelle d’entreprise obligatoire depuis 2013. Ce socle ne suffit plus, à lui seul, à répondre aux attentes actuelles des collaborateurs.
Parmi les plus courants : complémentaires santé ou retraite, épargne salariale, avantages en nature (véhicule, logement, téléphone), primes (performance, intéressement, fidélité), prise en charge des repas et des transports, ou encore avantages CSE (réductions culturelles, chèques cadeaux, etc.).
Deux constats récents justifient d’investir dans ces dispositifs et de mieux les expliquer :
Une large majorité de salariés souhaite que leur entreprise agisse davantage pour soutenir leur pouvoir d’achat (jusqu’à 89 % selon certaines études).
À retenir : proposer des avantages, c’est bien ; les rendre lisibles et activables, c’est essentiel.
CSE & non-discrimination : les prestations du CSE (ASC) doivent être accessibles sans condition d’ancienneté depuis un arrêt de la Cour de cassation.
Les avantages innovants qui montent
Depuis 2020, les attentes ont évolué vers davantage de flexibilité, de bien-être et de reconnaissance. De nombreuses entreprises enrichissent leur politique avec :
• congés illimités,
• cours de yoga ou de méditation,
• repas sains pris en charge,
• présence des animaux de compagnie au bureau,
• télétravail structuré,
• salaire à la demande,
• et sport en entreprise.
Le sport, en particulier, progresse fortement car il répond à la fois à des enjeux de santé et de cohésion.
D’après le Baromètre 2024 du sport en entreprise, parmi les dirigeants ayant mis en place des activités physiques : 75 % constatent un impact positif sur la santé et le bien-être, 30 % sur l’engagement, 29 % sur la performance, et 12 % observent une baisse de l’absentéisme.
On vous propose de faire un test gratuit pour commencer à tirer des premiers bénéfices pour le bien-être des salariés sans coût.
1. Mixer socle légal et options ciblées. Conserver un cadre solide tout en ajoutant des options adaptées aux profils (mobilité, famille, bien-être, alimentation).
2. Offrir des dispositifs activables au quotidien. Ex. tickets-restaurant, transport, offres CSE et activités sportives concrètes.
3. Communiquer et simplifier l’accès. Un pack d’avantages mal compris est un pack sous-utilisé ; formaliser et rappeler les droits réduit le « trou d’usage ».
4. Évaluer l’impact. Suivre l’usage, la satisfaction et les effets RH (engagement, rétention, absentéisme).
5. Introduire des innovations à forte valeur perçue. Ex. sport en entreprise : les effets positifs perçus par les dirigeants (bien-être, engagement, performance) et la baisse d’absentéisme soutiennent le ROI social.
• Budget de fonctionnement : sert aux outils/logiciels, expertises, formations, communication nécessaires au fonctionnement du CSE (pas aux avantages salariés).
• Budget ASC : finance les prestations sociales & culturelles (ex. sport, culture, loisirs) avec règles d’exonération URSSAF.
• Souplesse : transfert possible jusqu’à 10 % de l’excédent annuel d’un budget vers l’autre.
Kobi accompagne les entreprises qui veulent :
• renforcer la cohésion via des challenges et animations collectives,
• faciliter la pratique grâce à des formats courts, hybrides et inclusifs,
• soutenir le pouvoir d’achat des collaborateurs en intégrant l’activité physique dans le package d’avantages, au lieu de la laisser entièrement à leur charge.
Dans un marché de l’emploi où la rétention devient critique, l’ajout d’un avantage santé-bien-être visible et utilisé renforce la marque employeur et la fidélisation.
Conclusion
En 2025, optimiser les avantages sociaux consiste à aller au-delà du minimum légal, à proposer des dispositifs activables et compris, et à intégrer des leviers à fort impact perçu comme le sport en entreprise. Ce mix améliore la qualité de vie au travail, soutient le pouvoir d’achat et contribue à l’attractivité comme à la rétention des talents.
Le sport en entreprise vous permet d’agir sur votre taux d’absentéisme, votre turnover et augmente la productivité de vos équipes. Kobi agit sur vos indicateurs de performance RH.
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