Le sport en entreprise : un levier stratégique pour le bien-être, la performance et la marque employeur

Publié le
20/3/2024
Auteur
Louis Benech
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Le bien-être des employés s'affirme comme un enjeu crucial pour les entreprises. Le sport en entreprise se présente comme une solution prometteuse pour améliorer la santé physique et mentale des salariés, tout en stimulant la performance et l'attractivité de l'organisation.

1. Contexte : bien-être et enjeux RH

Le bien-être des collaborateurs s’affirme comme un enjeu majeur pour les organisations : selon une étude, 80 % des salarié·es estiment qu’il est très important que leur entreprise prenne des mesures pour favoriser ce bien-être. (regarger ou trouver liens)

Par ailleurs, la pratique sportive en entreprise est encore peu généralisée : seulement 27 % des salarié·es français·es déclarent en bénéficier actuellement. Dans ce contexte, proposer un dispositif de sport au travail ne relève plus uniquement d’une initiative bien-être mais d’une stratégie RH performante (attractivité, fidélisation, performance).

2. Une tendance forte et structurée

Le sport en entreprise s’impose comme une tendance durable :

89 % des salarié·es estiment qu’une entreprise qui propose des activités sportives veille à leur bien-être.

86 % jugent que ce type d’initiative contribue à réduire le stress.

30 % à 40 % de réduction possible de l’absentéisme et une amélioration de la productivité de l’ordre de +6 % à +9 % pour les entreprises qui ont un dispositif actif.

Ces indicateurs montrent que le sport en entreprise n’est plus un « extra » mais une investissement stratégique. Le sport en entreprise est désormais perçu comme un véritable levier de performance : il améliore la santé, réduit le stress, limite l’absentéisme et crée de la valeur pour l’organisation. Ce n’est plus un « plus », c’est un choix stratégique.

3. Pourquoi beaucoup d’entreprises s’y intéressent ?

Santé physique & mentale : La sédentarité reste un problème majeur (95 % des adultes sont exposés à un risque de détérioration de la santé en raison de l’inactivité).

Cohésion d’équipe et marque employeur : Le sport favorise les interactions informelles, brise les barrières hiérarchiques, et les salarié·es le perçoivent comme vecteur de reconnaissance.

Performance organisationnelle : Des études montrent que la mise en place d’un programme d’activité physique peut générer une productivité accrue, moins d’absentéisme et des économies de santé.

En combinant santé, cohésion et performance, le sport en entreprise produit un effet économique net positif : baisse des coûts d’absentéisme et de santé, gains de productivité, meilleure rétention un ROI mesurable à moyen terme.

‍4. Pratique : comment structurer une politique sport au travail

Pour maximiser l’impact, il est recommandé de :

• Fixer des objectifs clairs : bien-être, cohésion, productivité et suivre des KPIs (absentéisme, turnover, satisfaction)

• Adapter l’offre à la taille et au contexte de l’entreprise : PME, ETI, grands groupes n’ont pas les mêmes moyens

• Penser inclusif : tous les profils, tous les niveaux, tous les postes (bureau, terrain)

• Mobiliser les managers et créer de la visibilité (événements, challenges, communication interne)

• Mettre en place un modèle hybride : mix de séances encadrées, d’applications, d’outils d’épargne ou d’avantages liés au sport

• Mesurer l’impact à moyen terme et ajuster (budget, participation, satisfaction)

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5. Le rôle de Kobi : une brique opérationnelle au cœur de cette stratégie

Dans cette dynamique, Kobi propose une solution d’épargne liée au sport, qui répond à trois enjeux :

• Transformer les achats du quotidien en budget sport utilisable pour licences, abonnements, équipements ou activités bien-être

• Étaler l’effort financier pour le salarié (prélèvement progressif, épargne dédiée) et ainsi faciliter le passage à l’acte

• Compléter et non remplacer les dispositifs internes de l’entreprise (subventions, salles de sport, cours collectifs), en renforçant l’autonomie des salariésRésultat attendu pour l’entreprise : une participation renforcée, une image employeur modernisée, une politique QVCT traitée sur un mode concret et différenciant.

‍6. Conclusion : transformer l’impératif bien-être en avantage compétitif

Aujourd’hui, proposer du sport en entreprise n’est plus une “nice to have” : c’est un levier différenciateur qui influence l’attractivité, la fidélisation et la performance.Pour les DRH, managers et responsables QVCT, le défi est d’intégrer cette dimension dans la stratégie globale aussi bien pour le bien-être des salariés que pour la santé financière de l’organisation.Grâce à Kobi, l’entreprise dispose d’un outil clé en main pour rendre cette stratégie accessible, durable et engageante.

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