
En France, faire du sport coûte souvent moins cher que dans d’autres pays grâce à un solide soutien public et à l’engagement des bénévoles.
• Les collectivités territoriales consacrent environ 14 milliards d’euros au soutien du sport en 2022, sur un total public d’environ 22 milliards.
• Les ménages français consacrent en moyenne ≈ 260 € par an à la pratique ou au suivi d’activités sportives, soit environ 22 €/mois.
• En 2022, les achats d’articles de sport représentaient 7,3 milliards d’euros, soit près de 28 % des dépenses sportives des ménages.
Ainsi, ce modèle a permis de rendre la pratique relativement accessible malgré des coûts déjà en activité (licences, abonnements, équipements).
Le modèle montre des signes de fragilité :
• L’Agence nationale du sport, l’État et les collectivités sont sous contrainte budgétaire. Par exemple, le budget du sport annoncé pour 2025 doit passer de 909 millions d'euros à 700 millions selon un projet de loi.
• La pratique sportive en club devient un frein : certains clubs évoquent des tarifs « entre 30 et 80 € » pour capter les publics modestes.
• La pression inflationniste touche les équipements : les biens liés au sport ont progressé fortement (+7,8 % de 2021 à 2022) et les articles de sport hors habillement représentent la plus grosse part de la dépense.
Même si le coût pour l’usager reste modéré par rapport à d’autres pays, les charges augmentent, les financements publics baissent ou sont instables, et cela pèse sur l’accès.

Plusieurs facteurs expliquent la nécessité de repenser le modèle :
• Après des événements majeurs (comme les Jeux olympiques de Paris 2024), certains crédits exceptionnels disparaissent.
• Le modèle d’équipement (rénovation, normes, accessibilité) devient très coûteux pour les collectivités.
• La diversité des pratiques sportives (sport-santé, territoires ruraux, nouveaux publics) exige un financement plus flexible et moderne.
Pour garantir l’accessibilité et la pérennité, plusieurs pistes émergent :
Développer les partenariats privés : entreprises, mécénat, sponsors locaux pour compléter l’argent public.
Favoriser les modèles hybrides : mix de fonds publics-privés, financements affectés, nouvelles technologies numériques (inscriptions, micro-paiements, abonnements modulables).
Valoriser l’argument social du sport : insertion, santé, cohésion territoriale ce qui renforce l’attractivité pour les entreprises et institutions.
Pour les ménages : optimiser les avantages fiscaux liés au sport, encourager l’équipement, et proposer des solutions d’épargne ou de paiement étalé.
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Kobi propose une solution innovante :
• Transformer les achats du quotidien en « budget sport » utilisable pour licences, cours, abonnements, équipements ou activités bien-être.
• Permettre l’étalement de l’effort financier (via épargne ou prélèvement progressif) pour sécuriser l’accès à l’activité.
• Cette approche ne remplace pas le soutien public, mais le complète : elle donne plus d’autonomie aux pratiquants, soutient les associations et soulage la dépendance aux cycles budgétaires publics.
Le modèle de financement du sport en France est à réinventer :
Les financements publics (État + collectivités) restent essentiels mais sont sous forte pression. Les ménages participent déjà via leurs dépenses sportives, mais les coûts augmentent.Il est temps d’élargir les recettes : privés, numériques, hybrides, et activer les outils d’autonomie.
Kobi est bien positionnée pour jouer un rôle clé dans cette transition, en rendant la pratique sportive plus fluide, accessible et durable.
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